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Hum… c’est samedi.

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C’est samedi. Et pour éviter ce qui s’est passé un certain samedi de février, mon Maître redouble de vigilance. Il a été longtemps chez lui, RouXy, ce matin. Maintenant, il est presque midi malgré ce que dit l’horloge (*), la factrice est passée et mon Maître a rentré RouXy chez nous. Il a mangé mais en veut encore ! Dans un moment il montera à l’étage pour une sieste qu’on espère longue et profonde. Moi, Frimousse, dans ma cagette sous mon balcon. Il a plu un peu ce matin mais maintenant le soleil paraît vouloir se montrer.

Ma Maîtresse vient de nous dire que, comme prévu, elle a été courir là-bas (**). Ça change avec sa montagne mais c’est loin d’être désagréable. Pour compenser, elle a décidé d’aller dépenser beaucoup de sous dans les magasins cette après-midi.

(*) Elle s’arrête toutes les cinq minutes, alors elle va aller chez le réparateur !

(**) Photo du haut.

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Les abeilles ou les tiques ?

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Hier se courait le Tour du Lac par les cimes. Avant, ça s’appelait l‘Annecime. Mais ça faisait pas assez « in ». Alors, maintenant, ils disent la Maxi-race. Vous savez, les patins à roulettes sont des rollers, le pas de patineur (ski de fond) le skating, le supermarché, Machin-market, etc.

Le matin, comme le parcours emprunte, sur une petite portion, son parcours de course, ma Maîtresse est allée encourager les participants.

L’après-midi, sur une petite partie de l’itinéraire du Trail de Faverges, entraînement avec plusieurs de ses copines – c’est comme ça qu’elles nomment une dégustation de petits gâteaux et de chocolat… Heureusement, mon Maître est resté avec nous. Pour nous « surveiller ». Facile !  Moi, Frimousse, et mon copain RouXy, on a roupillé toute l’après-midi sur le lit de la chambre !

Tondre ou ne pas tondre ? Dans mon jardin, on essaye d’avoir beaucoup de fleurs. La pelouse n’est pas très grande mais faut-il couper l’herbe ou la laisser devenir haute, pour que les fleurs sauvages aient leur chance ? Dans les prés, ils coupent l’herbe de plus en plus tôt, avant que les graminées fleurissent. Et les abeilles n’ont plus rien à butiner. Alors, il y a de moins en moins d’abeilles… Mais, dans mon jardin, herbe haute ça veut dire tiques ! Sales bêtes ! « Déjà que j’en attrape presque à chaque fois que je cours, » qu’elle dit, ma Maîtresse, « s’il faut aussi que j’en prenne dans le jardin ! »

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