Hier je me suis approché du nichoir et, comme je n’entendais aucun bruit, je l’ai ouvert. Cinq petites mésanges jaunes et bleues. Mortes. Moka a dû tuer la mère et les petites sont mortes de faim. Triste. J’ai décroché le nichoir. Je ne vais pas donner de faux espoirs aux mésanges ! Ce matin je suis allé en montagne au-dessus de chez nous. 15 ans que je n’étais pas allé là ! Finalement, crapahuter en montagne c’est moins mauvais pour mes genoux que tondre le gazon… En descendant j’ai croisé une bonne cinquantaine de promeneurs, de tous âges. Comment on fait, MM. du gouvernement, pour croiser sur un sentier de 50 cm de large ? Il y aurait certainement moins de monde aujourd’hui en montagne si ces messieurs du gouvernement n’avaient pas édicter des règles imbéciles, faites sur mesure pour les Parisiens. Ma belle-fille, directrice d’une école élémentaire entre Annecy et Genève, a beau faire respecter scrupuleusement les règles par ses élèves, qui ne font rien d’autre que se laver les mains – 17 fois dans la journée, elle a compté – elle voit mal comment un nouveau confinement pourra être évité. 4 cas en ce moment dans l’école de la commune d’à côté.

Moka et les mésanges… J’avais installé, appuyé au grillage qui sépare notre jardin de celui du Maître de RouXy, un vieux nichoir en bois trouvé dans la cave. A l’époque Frimousse ne pouvait pas s’en approcher (collier PetSafe), RouXy essayait de l’atteindre, mais avec une patte arrière en moins… Cette année, depuis que les petites mésanges sont nées, Moka attend l’occasion de pouvoir les tuer. Je la fais fuir de cet endroit en lui montrant un bâton. Et elle comprend ! Mais je ne peux surveiller de l’aube à la nuit… Nous ne pouvons rien pour l’heure mais dès que les petites mésanges auront pris leur envol, je retire le nichoir.

La photo ? Le sport ! En savoir plus…