L’article précédent, printemps 2001 : PetSafe, marque un tournant dans la vie de Frimousse.
Nous cherchions à acheter une maison, une maison avec un jardin, une maison qui convienne pour Frimousse. Nous avons déménagé en Juillet. La vie de Frimousse devint étroitement liée à celle d’un tout petit chaton roux : RouXy.
Tous les matins Frimousse tendant le cou vers nous pour qu’on lui mette son collier PetSafe, synonyme de permission de sortir. En suite il allait attendre l’arrivée de son copain RouXy, un rituel qui dura des années….
Je ne vois pas de photo pour ce billet …
C’est normal ?
Pas de photo. Pour qu’on lise le texte…
Mais je lis toujours le texte … même s’il y a des photos !!!
Je n’en doute pas un instant !
Mais maintenant, les photos, je dois fouiller dans les souvenirs pour les trouver.
Je ne prends plus de photos.
Je crois que je vais préparer plus de textes racontant des anecdotes de la vie des minets.
ah!!! les petites habitudes….
Des bonnes et des mauvaises.
Celles là étaient excellentes.
c’est super gentil d’avoir changé de maisonpour lui permettre de vivre encore plus heureux
Beaucoup de maisons… « n’irait pas pour Frimousse « ….
J’avais toujours notés et je continu à l’écrire,ils avaient une amitié incroyable, proche des z’humains,Amitié
Ils nous manquent beaucoup.
Un nouveau départ pour une belle histoire … toujours trop brève hélas
Il faut se dire qu’elle aurait pu être beaucoup plus courte.
Et que serait devenu RouXy si on n’avait pas habité ici ? Il aurait crevé seul dans cette putain de grange dans d’abominables souffrances.
Bonne réponse
C’était le début d’une grande amitié, et de grandes explorations dans un périmètre défini comme sûr ❤️
Je crois effectivement que Frimousse était heureux dans son jardin et sa maison (*). Quant à RouXy, les années passant, il appréciait, j’en suis sûr, de plus en plus d’être près de nous. Mais, parfois, une pulsion subite l’appelait vers la route…
Bonne journée à toi, Momo, Pixie et Zorro.
Nos géraniums s’impatientent à la cave. Mais ils vont devoir attendre. Les vitres des autos sont givrées ce vendredi matin….
(*) Des études montrent que les chats n’ont, pour la plupart, pas besoin d’un grand espace. Le problème c’est si dans cet espace il y a une… route. Au début Plume sortait de son périmètre mais après un ou deux ans elle n’est jamais plus sortie de chez elle. Elle s’y trouvait parfaitement bien – oiseaux, souris, arbres, ruisseau.
L’amour d’un chat pour un pote à 4 ou à 2 pattes, c’est un trésor !
Nous aussi, quand on a acheté la maison , nous l’avons choisie en pensant à la petite chatte que nous avions et nous en avons éliminé jugées dangereuses pour elle.
Pas facile ! La risée de l’entourage mais R.A.B.
Finalement nous avons eu de la chance et Frimousse a vécu heureux ici.
Hé bien le pouvoir d’un chat est grand, déménager pour c’est un geste d’amour grandiose. En plus tu as fait un bon choix.
Sinon sur mon blog le chat qui ressemble à Frimousse, il habite trois rues plus haut, et c’est très rare de le voir ici. Mais heureusement que ma rouquine ne l’a pas vu, car pour elle aucun chat autre qu’elle et son fil ne doivent venir.
Ils sont exclusifs dans leurs amitiés. Si RouXy avait été grand quand nous sommes arrivés je pense qu’il y aurait eu un gros problème. Mais c’était un bébé. Pour Tigri c’était limite ! Car c’était un gros chaton.
RouXy, lui, était très bagarreur. Mais il était capable de s’habituer, je crois, si on l’y aidait. Et bien que castré il ne se battait pas avec les chattes.
Quant à Tigri, il était assez jaloux et n’acceptait pas qu’on s’occupe d’un autre chat, à part ses copains Frimousse et RouXy.
Je pense que Frimousse et ses deux copains ont été très heureux dans cette maison.
Oh oui !
Et nous aussi.
Mais maintenant tout est vide la plupart du temps.
C’est une nouvelle vie pour Frimousse le changement de maison, il a pu avoir deux copinous RouXy et Tigri et ses maîtres, ce sont des moments que l’on n’oublie pas et d’en parler dans le blog, ils sont toujours présents. Ch’ amitiés.
Il n’était pas heureux dans l’ancienne maison.
Seul, il attendait notre retour.
Pas une vie !
Ici c’était la vraie vie, souvent dans son jardin au début, presque toujours ensuite.
Et un copain, puis deux.