C’est ce que je dictais à mon Maître le 3 octobre 2012. « Et oui, Nicole, quatre ans après, on ne changerait pas un mot, » dit mon Maître…
http://frimousse74.canalblog.com/archives/2012/10/03/25233742.html
C’est ce que je dictais à mon Maître le 3 octobre 2012. « Et oui, Nicole, quatre ans après, on ne changerait pas un mot, » dit mon Maître…
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Normal, on n’oublie jamais !
Nicole
« On oublie quand c’est nous qui sommes oubliés, » murmure mon Maître. ..
Bonjour mes amis:FRIMOUSSE ROUXY:je viens de lire ce texte, entièrement d’accord avec cet écrit dit papa, qui lui aussi le paradis c’est de la foutaise,pour expliquer l’inexplicable,depuis des siècles,pourquoi faire des différences entre des enfants et nous les minets, nous donnons à nos parents au tant d’amour que les petits enfants qui grandissents et qui partent,nous,nous restons toujours avec eux,carésses à vous deux bisous à tes Parents
Mon Maître savait que ton Papa serait d’accord.
6 degrés ici ce matin.
Maintenant, au soleil, il fait chaud.
Bonne journée !
Oui beaucoup de question, sans réponse, sans vérité, alors pensons ce que l’on veut, le tout étant de croire ou pas.
Je partage entièrement les mots de votre billet . Il n’y a pas de paradis , juste notre coeur qui continue de battre pour l’être aimé quel qu’il soit . perdre un animal c’est un arrachement d’une grande cruauté Et pour ceux qui trouvent notre chagrin ridicule , l’écrivain Philippe Ragueneau a écrit un très beau texte à ce sujet :
« Je me souviens de cette femme, un soir, qui pleurait … C’était chez des amis. On se donnait des nouvelles des enfants. Elle avait dit simplement : « Mon petit chat est mort. » Et elle s’était mise à pleurer … Et, dans un coin du salon, un monsieur avait dit à un autre, en haussant les épaules : « Ce n’est qu’un chat, quand même ! … »
Ce n’est qu’un chat !… Mais c’est immense, un chat, vous ne savez pas, Monsieur ? C’est immense … Vous n’en avez pas, évidemment, et vous ignorez que l’on peut avoir, lorsqu’il s’en va à tout jamais, autant de chagrin que s’il s’agissait d’un enfant … Aux gens qui n’en ont pas, ça paraît sacrilège … Comment peut-on comparer, n’est-ce pas ? …
C’est parce que vous ne savez pas, Monsieur. Vous ne savez pas la place que ça prend, un chat, dans une vie – ces yeux d’or qui vous dédient un regard d’éternité, cette patte douce qui se pose sur votre main, ces mouvements qui sont la beauté et la grâce et dont chacun exprime une sensation, un sentiment, et cette tête ronde et dure qui se colle à votre tempe pour vous dire je t’aime aussi …
Tout cela, Monsieur, vous ne le savez pas, et quelque chose vous manque.
Mais je ne sais pas si je dois vous plaindre ou vous envier …. Parce que vous ne tremblez pas chaque fois qu’il tousse, ou éternue, ou n’a pas faim ; chaque fois qu’il s’est battu et que l’on cherche dans son poil, la trace des morsures et des griffes ; chaque fois qu’il rentre tard et que l’on ne sait pas, si dans la rue, un imbécile, qui roulait trop vite, ne l’a pas projeté contre un mur, désarticulé, brisé …
Mais vous ne connaîtrez jamais non plus, c’est vrai, le bonheur d’un amour gratuit partagé. Parce que les chats, Monsieur, c’est tout le contraire de ce que certains racontent : c’est tendre, c’est bon, c’est fidèle, c’est lucide, c’est intelligent, c’est doux et ça vous dit des choses …. Tant de choses ! …
Alors j’aurai voulu la prendre dans mes bras, cette femme que je connaissais à peine, et qui pleurait, et j’aurais voulu lui dire :
« Je vous comprends … Pleurez tant que vous voudrez, pleurez sans vous soucier des autres. Eux ne savent pas et moi si …. »
Philippe RAGUENEAU
Mon Maître y connaissait pas ce texte. Il le trouve très juste et surtout très beau.
On souhaite que beaucoup de visiteurs du Blog de Frimousse le lisent. Demain il trouvera un truc pour les conduire vers ton commentaire.
Merci à ton maître de faire connaître ce très beau texte . Il est extrait d’un des romans de Philippe Ragueneau consacré à son chat Moune » Le chat Moune et ses copains » C’est une des plus belles pages écrites sur nos amis . Caresses ti-muzo . Amitiés à ton maître
Nous aimons beaucoup le texte de Zoé, il est magnifique. Nous, on aime bien l’image du Pont-de l’Arc-En-Ciel qui mène à un jardin où tous se retrouveront un jour : c’est une autre manière de dire qu’il y a assez de place pour les souvenirs de tous ceux qu’on a aimé dans notre coeur. A chacun de trouver ce qui lui convient le mieux pour « vivre avec »… Ronrons
Magnifique ce texte en effet.
Mon Maître a trop lu Mickey quand il était jeune. L’arc en ciel lui fait penser à. .. picsou…
on ne peux perdre un animal sans ressentir de peine ou alors on est insensible et on avait juste un chat ou un chien pour faire comme tout le monde !
je n’ai pas honte de dire que j’ai toujours le coeur triste en pensant à mon pépère 8 ans qu’il est au paradis des chats comme j’aime le penser !!
Mon Maître je sais que le départ de Tigri lui a causé une peine des milliards de fois plus grande que la mort de ses « géniteurs ».
Ça va choquer mais tant mieux.
Je comprends ça . Tout est une question d’amour .
Il y a une différence : on ne choisit pas ses géniteurs, mais on choisit son chat – même si on a coutume de dire que c’est lui qui nous choisi !
Ping : “It’s only a cat, really!” | Frimousse Blog
Ma maîtresse connaît les histoires du chat Moune qu’elle a lu quand elle était très jeune. Elle dit qu’on ne se remet jamais de la perte d’un être cher, que ce soit une personne, un chat, un chien, un cheval…
Mon Maître demande si tu sais de quel livre précisément s’est tiré car Marie-Christine le demande. Merci.
C’est tiré de « Le chat Moune et ses copains » de Philippe Ragueneau
Oui. Nounou a répondu. Mkn Maître l’a reçu hier à 11 heures et à 5 heures il l’avait lu.